ING BeleggersBarometer : Ethisch beleggen is OK voor Belgische belegger… als het rendeert ING BeleggersBarometer ING BeleggersBarometer
Le Baromètre des Investisseurs mesure chaque mois la confiance des investisseurs particuliers belges. En d'autres termes, il exprime le "sentiment des investisseurs". Cette enquête, menée par TNS, est une initiative d’ING en collaboration avec l’Université de Gand et les quotidiens L’Echo et De Tijd. Jusqu’en mai 2011, elle avait lieu par téléphone. Depuis juin 2011, elle se déroule en ligne.
Le Baromètre des Investisseurs mesure chaque mois la confiance des investisseurs particuliers belges. En d'autres termes, il exprime le "sentiment des investisseurs". Cette enquête, menée par TNS, est une initiative d’ING en collaboration avec l’Université de Gand et les quotidiens L’Echo et De Tijd. Jusqu’en mai 2011, elle avait lieu par téléphone. Depuis juin 2011, elle se déroule en ligne.
En décembre, le Baromètre des Investisseurs ING s'est maintenu à un niveau élevé pour le troisième mois consécutif. Il semble que les livrets d'épargne commencent à attirer moins d'argent. Cela pourrait profiter aux placements plus risqués, l'emprunt populaire n'étant considéré comme une alternative intéressante que par une minorité des investisseurs. En 2013, plus de la moitié des investisseurs belges ont fait un don à une bonne cause.
Le Baromètre des Investisseurs ING s'est établi, pour le troisième mois consécutif, à 112 points en décembre 2013. Une valeur supérieure à 100 points reflète une perception relativement positive de l'environnement financier et économique. Cela s'explique en grande partie par l'évolution de la conjoncture, considérée comme plutôt favorable : pour les trois prochains mois, 34 % des investisseurs s'attendent à une amélioration, alors que 20 % se déclarent plus pessimistes.
Les attentes demeurent également élevées en ce qui concerne les Bourses. 39 % des sondés estiment ainsi que le rallye boursier va se poursuivre au cours des trois prochains mois. À peine 20 % se montrent plus réservés. La hausse boursière, qui dure déjà depuis quelque temps, et la baisse de taux de la BCE en novembre incitent manifestement les investisseurs à prendre de nouveau plus de risques. 24 % des Belges affirment ainsi que le moment est bien choisi pour investir dans des secteurs plus risqués, une hausse significative par rapport aux mois précédents. Ils sont encore 32 % à penser le contraire, mais il s'agit du pourcentage le plus bas depuis juillet 2007. Partant de ce constat, nous pourrions en déduire que les investisseurs ont enfin tourné la page de la crise financière. Une thèse confirmée par le fait que seuls 18 % des personnes interrogées sont encore intéressées par des placements obligataires plus sûrs.
Emprunt populaire
Selon des chiffres de la Banque nationale, nous venons d'assister, pour la première fois en 19 mois, à des sorties de capitaux des livrets d'épargne. Cela signifie que les Belges ont décidé soit de consommer davantage soit de partir à la recherche d'autres formes de placement. 62 % des épargnants déclarent toutefois qu'ils ont l'intention de laisser les intérêts qu'ils ont perçus sur leur livret. Les mouvements récemment observés doivent donc être relativisés. 19 % comptent, par ailleurs, consacrer cet argent à un achat et 20 % ont l'intention de l'investir dans d'autres produits. À cet égard, il est peu probable que l'emprunt populaire rencontre un immense succès. Les investisseurs estiment en effet que le moment n'est pas vraiment idéal pour investir dans du papier à taux fixe à long terme. Interrogés sur cet emprunt durant le mois de novembre, seuls 3 % des sondés ont laissé entendre qu'ils investiraient très probablement dans ce produit, alors que 12 % considèrent cela comme plus ou moins probable.
Pour la bonne cause
Une partie des intérêts perçus sur les livrets pourrait également être consacrée à une bonne cause. 55 % des investisseurs affirment ainsi avoir versé de l'argent à une ou plusieurs bonnes œuvres en 2013. Plus de 59 % de ces généreux donateurs font même cela de manière régulière. 35 % se sont limités à un montant de 50 euros. 25 % ont versé entre 50 et 100 euros. Et 13 % ont donné plus de 250 euros. Peut-être les excellents gains boursiers déboucheront-ils aussi sur une augmentation des dons en 2014 ?
La Libre Belgique 25 01 2014
L'Echo 25 01 2014 intro
L'Echo 25 01 2014