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Baromètre ING des investisseurs : Plus de la moitié des jeunes investisseurs et des femmes préfèrent les obligations « vertes » 

Baromètre ING des investisseurs : Plus de la moitié des jeunes investisseurs et des femmes préfèrent les obligations « vertes » 

L'intérêt pour les investissements obligataires à son plus haut niveau depuis 2011

Bruxelles - Le baromètre ING des investisseurs a augmenté pour le troisième mois consécutif en juillet et se situe désormais bien au-dessus de son niveau neutre. Les anticipations conjoncturelles et boursières sont en hausse. Environ un tiers des investisseurs pensent que c'est le bon moment pour acheter des obligations, soit le niveau le plus élevé depuis 2011. Près de la moitié des investisseurs se contenteraient d'un coupon brut de 4% sur une obligation d'entreprise de bonne qualité. Pour 44% des investisseurs, il est important que l'obligation dans laquelle ils investissent soit "verte". Chez les jeunes et les femmes, ce pourcentage dépasse même les 50 %.

Le baromètre ING des investisseurs a enregistré une troisième hausse consécutive en juillet. Après avoir atteint 102 points en juin, le baromètre se situe désormais à 109 points, soit nettement au-dessus du niveau neutre de 100 points. Ceci indique que les investisseurs belges voient de plus en plus favorablement les développements économico-financiers.

Le sentiment que l'économie s'améliore est manifeste. Seuls 29% des investisseurs voient encore une détérioration de la situation économique au cours des trois derniers mois. Il s'agit du chiffre le plus bas depuis septembre 2021. Les attentes économiques restent également plutôt positives pour les mois à venir : pour la première fois depuis février de cette année, les optimistes (29%) sont à nouveau plus nombreux que les pessimistes (24%).

Les anticipations positives concernant le cycle économique peuvent être dues à l'évaluation plus positive de leur situation personnelle. Ainsi, 26% des personnes interrogées s'attendent à une amélioration de leur situation financière au cours des prochains mois. Il faut remonter à avant la pandémie pour trouver un pourcentage aussi élevé. La forte baisse de l'inflation a probablement alimenté ce sentimentPeter Vanden Houte, économiste en chef chez ING Belgique
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Une première depuis 20 mois : plus d’un quart des investisseurs veulent prendre plus de risques

L'optimisme conjoncturel semble également se traduire par un sentiment plus optimiste à l’égard des marchés boursiers. Ainsi, 31% des investisseurs belges prévoient une hausse des bourses au cours des trois prochains mois. Seuls 23% craignent une baisse, ce qui représente le pourcentage le plus bas depuis près de deux ans. Il n'est donc pas étonnant que l'appétit pour le risque augmente à nouveau légèrement. Ainsi, 27% pensent que c'est à nouveau le bon moment pour investir dans des secteurs plus risqués, tandis que 26% ne le pensent pas. C’est la première fois depuis 20 mois qu’une majorité relative des investisseurs veut prendre plus de risques.

"Les nouvelles concernant la guerre en Ukraine sont quelque peu passées à l'arrière-plan, tandis que l'inflation diminue et les hausses de taux d'intérêt par les banques centrales semblent toucher à leur fin. Ajoutez à cela le fait que les performances des marchés boursiers n'ont pas été mauvaises ces derniers mois et vous obtenez un cocktail qui rend les investisseurs un peu plus enclins à prendre des risques", estime Peter Vanden Houte.

Un tiers des investisseurs prévoient d'acheter des obligations au cours des six prochains mois

La hausse des taux d'intérêt a stimulé l’attrait pour les investissements obligataires. A titre d’exemple, 31% des personnes interrogées pensent que c'est le moment idéal pour investir dans les obligations, soit le pourcentage le plus élevé depuis avril 2011. ​ Il n'est donc pas surprenant qu'environ un tiers des investisseurs déclarent avoir l'intention d'investir dans des obligations ou des fonds obligataires au cours des six prochains mois. Toutefois, cette intention est beaucoup plus élevée chez les investisseurs qui détiennent déjà des obligations dans leur portefeuille (46%) que chez ceux qui n'investissent pas encore dans les obligations (25%). Parmi les investisseurs plus réguliers qui n'ont pas encore d'obligations en portefeuille, plus de 40% envisagent également un tel investissement.

Parmi les investisseurs qui prévoient d'investir dans des obligations, 44% envisagent des obligations d'entreprises ou des obligations émises par des institutions internationales, tandis que 42% pensent aux obligations d'État. Environ un tiers d'entre eux envisagent des fonds obligataires.

Pour une obligation d'entreprise ayant une bonne cote de crédit et une échéance de 5 ans, 45% des investisseurs se contenteraient d'un coupon brut de 4%. Vingt autres pour cent envisageraient un tel investissement si le taux d'intérêt était d'au moins 5%.

Les obligations vertes attirent surtout les jeunes et les femmes

Pas moins de 44% des investisseurs considèrent qu'il est important que l'obligation dans laquelle ils investiraient soit "verte". Cela témoigne de l'importance croissante des critères ESG (environnement, social et gouvernance) dans le monde de l'investissement. Cette préférence est plus marquée chez les jeunes investisseurs (<45 ans), où plus de la moitié d'entre eux préfèrent les obligations vertes, tandis que chez les plus de 70 ans, ils sont un tiers à considérer cela comme important. Il est également à noter que les investisseurs féminins (51%) sont légèrement plus favorables à un modèle d'investissement durable que leurs homologues masculins (40%).

Les études internationales montrent que les femmes et les jeunes sont généralement plus axés sur l'ESG dans leur stratégie d’investissement. Les résultats de l'enquête ING auprès des investisseurs montrent que c'est également le cas en BelgiquePeter Vanden Houte

### Fin du communiqué de presse ###

Le Baromètre des Investisseurs mesure chaque mois la confiance des investisseurs particuliers belges. En d'autres termes, il exprime le « sentiment des investisseurs ». Cette enquête, menée par Kantar, est une initiative d’ING en collaboration avec l’Université de Gand. L’enquête se fait en ligne.

À propos d'ING

ING Belgique est une banque universelle qui fournit des services financiers aux particuliers, aux entreprises et aux clients institutionnels. ING Belgique S.A./N.V. est une filiale du Groupe ING N.V. via ING Bank N.V. (www.ing.com)

ING est une institution financière internationale solidement ancrée en Europe qui propose des services bancaires par l’intermédiaire de sa filiale d’exploitation ING Bank. ING Bank entend aider ses clients à conserver une longueur d’avance dans la vie et dans les affaires. Le personnel d’ING, qui compte plus de 57 000 employés, propose des services bancaires pour particuliers et entreprises aux clients de la banque répartis dans plus de 40 pays.

Le Groupe ING est coté aux Bourses d’Amsterdam (INGA NA, INGA.AS), de Bruxelles et de New York (ADR’s : ING US, ING.N).

La durabilité fait partie intégrante de la stratégie d'ING, comme en témoigne la position de leader d'ING dans les indices de référence sectoriels de Sustainalytics et MSCI, ainsi que notre classement sur la « liste A » du CDP. Les actions du Groupe ING sont incluses dans les principaux produits d'indices de durabilité et d'indices environnementaux, sociaux et de gouvernance (ESG) des principaux fournisseurs tels que STOXX, Morningstar et FTSE Russell. En janvier 2021, ING a obtenu un score de 83 ("fort") à l’évaluation ESG de la part de S&P Global Ratings.

 

Contactez-nous

Renaud Dechamps
Spokesman & Media Relations Manager, ING Belgium

E: renaud.dechamps@ing.com

T: +32478662158

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